Course à pied : III] Limites et débats

On considere 99% des capacités sportives de l'etre humain ont été atteinte aujoourd'hui et donc les nouvelles performances proviendront aloors plus de la biologie mais des nouvelles technologies. Ce qui peut ne plus plaire au public qui ne pourra, par exemple, plus s'identifier aux sportifs.

a) Ethique et reglement :

Rémunérer le travail de conception et de fabrication des Accessoires de la course a pied plutôt que les investissements marketing qui se font au détriment des conditions de fabrication.



Les athlètes doivent porter des tenues règlementaires reconnues par leur Fédération. Ces tenues doivent de plus être non offensantes et ne pas gêner la vision des juges. Un athlète a la possibilité de participer pieds nus, ou porter des chaussures à un ou aux deux pieds.


b) Dopage technologique : Affaire Pistorius






Malgré que Pistorius porte des prothèses, on pourrait croire qu'il possède une longueur de foulée supérieure à une une foulée normale, mais il en est rien, sa foulée reste d'une longueur moyenne de 2,31m, c'est-à-dire la même que pour un coureur valide. Cepandant les prothèses comportent un avantage non négligeable, elles fournissent trois fois moins d'énergie qu'une jambe biologique. Il y a néanmoins les prothèses comportent des désavantages, tel que lors du départ, juché sur ces prothèses Oscar doit se redresser dès le début pour ne pas tomber, ses jambes le poussent alors vers l'avant mais aussi vers le haut, Oscar accélère donc beaucoup moins rapidement. Alors que chez un coureur valide, lors du départ celui-ci débute la course penché en avant, à la limite du déséquilibre, pendant plus de 30m. Toute la puissance de ses jambes les pousse en avant, lui permettant d'accélérer et d'atteindre trés vite une vitesse de pointe avant de se redresser. Mais une des plus grande difficultées d'un coureur comme Oscar Pistorius est la concentration, il est vrai que lors d'une course qu'elle soit un 100m ou un 400m, le coureur valide reçoit en permanence des informations, comme la vitesse, l'équilibre, l'inclinaison sur la piste perçut par sa voute plantaire. Or Oscar lui, ne peut que se contenter de la pression que ses prothèses excercent sur ses moignons pour "sentir" la piste à environ 40cm de hauteur, s'étant fait amputer Pistorius ne possède pas de membre capable de sentir le sol. Il peut par conséquense chuter à la première faute d'inattention.
Le cas d'Oscar Pistorius semble consistuer une illustration trés médiatique d'une évolution majeur de la technologie. Les fabricants sont parvenues à développer des produits qui, non seulement restaurent les fonctionnalités perdues, mais les améliorents considérablement.

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